jeudi 5 septembre 2013

Malaysia - Langkawi



L'étape qui a suivi Penang fut l'île de Langkawi, réputée pour son importante population d'aigles. Supposée être une île paradisiaque, le temps n'a malheureusement pas été en notre faveur durant notre séjour là-bas, mis à part le dernier jour où j'ai complètement brûlée.


On a fait quelques excursions mais c'était plutôt décevant car beaucoup trop touristique. Par exemple les singes ci-dessous qui se nourrissent des Pringles que leur jettent les touristes ou encore de déchets négligemment laissés ; le snorkeling, où chacun se livre à une véritable guerre pour s'approcher au plus près des poissons et où les compétences en natation acquises en primaire se révèlent bien utiles avec en prime coups de palme et duel au tuba permis. Sans parler du "pic-nic intimiste" (300 personnes) sur la plage déserte (300 touristes chinois). (+ leurs déchets). (Oui parce qu'ils jettent tout par terre).



Au cours d'une balade en scooter à travers l'île, on tombe par hasard et pour notre plus grand bonheur sur un night market local avec pleins de bons produits. Fidèles à nous mêmes on a tout goûté jusqu'à ne plus pouvoir se déplacer en marchant mais en roulant

On a aussi mangé le chat.


Sur la plage, beaucoup d'activités sportives proposées dont le parachute ascensionnel. Mais pour en avoir déjà fait, rien d'extraordinaire. Sauf que cette fois on nous a proposé d'en faire tous les deux, sans accompagnateur... OUI OUI OUI ! Après 2 minutes d'explications très approximatives en malais-anglais on se retrouve seuls sur notre parachute ! On s'en est pas mal sortis du tout, pas de jambes cassées à l’atterrissage.
On a également loué un jet ski ultra puissant (j'y connais rien mais je dirai bien 10 000 chevaux !!), puuuur bonheur ! 

Bébés requins à pointes noires.

Pluie torrentielle


Toujours lors de notre balade en scooter, en traversant des petits villages excentrés des lieux touristiques on finit par s'arrêter dans le restaurant qui nous semble le moins à même d'être touristique. Un bon vieux boui-boui où ça ne parle pas anglais et où il n'y a pas de menu, le "chef" vous donne à l'oral les 2 possibilités culinaires offertes par la maison. 
Tellement bon que j'ai quand même repris trois fois le même plat (à la 3ème fois, on m'a rigolé au nez pensant que je faisais de l'humour).
On a beaucoup discuté avec le chef et propriétaire des lieux, des rencontres humaines si enrichissantes, saines et loin de toute influence touristique.

1 commentaire:

  1. Ouh là là, entre toutes ces photos de plats, d'assiettes, de mets divers et variés, heureusement qu'il y a 2 ou 3 photos où l'on voit que tu ne pèses pas encore 250 KG !!!

    TTTQTATF

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